« Très bien Markus, allongez vous, fermer les yeux et répondez avec le plus de franchise possible. Comment allez-vous ? »

Le jeune homme s'exécuta, s'installa, ferma les yeux et entrouvrit les lèvres, une centaines de réponses sembler ce bousculer dans sa tête au même moment. Il ce contenta de souffler et d'attendre la réponse vienne d'elle même, après tout, avais parler de franchise.

«  Vous voulez que je vous dise docteur ? Et bien j'en sais rien. Je sais pas si je suis heureux, si je vais mal, si je suis au bord du suicide ou si je prend mon pied. Vous savez je suis né au mois de Mars et c'est de la que me viens mon prénom ! Certains on des significations spécial, quelques chose qui explique ce prénom ci et bien moi c'est juste une idée de mes parents par rapport à mon mois de naissance. Je n'étais pas désirer apparemment, ça viens sûrement de là.. Après ma naissance mes parents furent obliger de ce marier, le père de ma mère, mon grand père, aurait apparemment obligé mon père à épouser ma mère parce qu'il trouver sa mal d'avoir un enfant hors mariage, je penser avoir était la cause de leurs bonheurs, mais peu être pas en fin de compte, ou peu être, j'en sais rien en fait. Je suis né en Angleterre mais j'ai vécu les premières années de ma vie aux État Unis, dans la belle ville de New York. Je n'est pas souvenir d'avoir étais malheureux pendant mes années passer à New York, au contraire, c'était une très belle époque pour moi. Je me souvient que mon père étais beaucoup pris par son travaille, il rentré tard le soir et je ne passer du temps avec lui réellement que le week-end. Il m'emmener voir les match de Quidditch, c'était notre grande passion à tout les deux. Il rêver d'être un grand joueur de Quidditch, il à jouer pendant deux ans dans l'équipe de sa maison et puis, pour son travaille il a du laisser sa passion. Il travaille dans la bourse internationale, mais sorcière. Ma mère quand à elle est rester femme au foyer, elle c'est occupée de moi jusqu'à ce que je rentre à l'école. Elle a obtenue son Diplôme à Poudlard et à poursuivie des études de lettre dans le bute de devenir journaliste. Elle à travaillée pendant quelques année pour un petit magasine Sorcier mais c'est arrêter en apprenant sa grossesse. Pendant les années où elle ne travailler pas elle a écrit un livre, un roman, elle à trouver un éditeur et il c'est vendue, même chez les moldu ! J'ai commençais par aller dans une école moldu, ma mère étant issus qu'une famille de moldu, voulais que je connaisse les deux monde. Je savais que j'étais différent de tout ces enfants et professeurs avec qui je passer mes journées et la question que je me pauser sans cesse, était de savoir si savais que j'étais différents. Jamais je n’eus de réponses, mais cela m'obséder. J'avais constamment peur d'être laisse à l'écart, de leurs faire peur. Mais je n'est pas tellement le souvenir que ça sois arrivé, je me souviens d'avoir eu des amis et d'avoir était heureux. En fait elle était belle cette époque. Quand on a entre sept et neuf ans, on ce pause pas vraiment de questions, un simple sourire suffisais à ce faire un nouvelle amis, à s'excuser, à pardonner. Et puis c'est à l'âge de sept ans que mes pouvoirs ce dévoilèrent.

Ce ne fut une surprise pour aucun de mes parents, mais pour moi, dans ma tête d'enfants je trouver ça tellement merveilleux. Cela ce produisis un mois de Décembre, la tête lever vers le ciel je regarder les flocons tomber du ciel dans mon jardin, je n'avais pas fait attention et à force de marcher je perdit l'équilibre et je tomba dans les rosier de ma mère, les fleurs étais inexistante en cette saison, mais les branches épineuse étaient encore bien là, en essayant de me dégager des branche, quand j'eus toucher la plante quelques choses d'étrange de passa en moi. Cela partie de mon esprit et descendit dans tout mon corps, dans mes muscles, dans mon sang et dans mon souffle. Comme un frisson agréable, et puis toutes les épines des branches ce transformèrent en de magnifique roses rouge. Pour immortaliser ce moment ma mère eu pris une photo, on me vois très là, empêtrer au milieu des roses et de la neige. J'aime bien cette photo. Et puis peu après cela, mes parents divorcèrent. Un choix commun m'avais t-il dit, mais avec le temps j'ai réaliser que c'était plus que cela. Je suivis ma mère qui rentra en Angleterre et je ne voyer mon père qu'au vacance de Noël et d'été. L'année qui suivie leurs divorce ma mère devint triste et ses sourire ce fessais rare. J'étais triste pour elle, triste de plus aller voir les match de Quidditch avec mon père, triste d'avoir laisser mes amis à New York, triste d'avoir étais obligé de changer de vie. Les quelques lettres que je recevais de mon père n'étais pas très glorieuse, il me raconter chaque fois la même choses, à croire que sa vie n'étais pas plus joyeuse que la notre. Et la question que je me suis pauser c'est pourquoi ? Pourquoi avoir mis fin à huit ans d'amour ? Dans mon esprit d'enfants, les parent s'aimer pour la vie, alors pourquoi eux ça n'avais pas étais le cas ? Malheureusement cette réponse que je ne l'eus jamais. Dans ma nouvelle école à Londres je m'étais fait de nouveaux amis, j'avais rencontré de nouveaux visage, de nouveau professeurs, j'avais de bon résultat scolaire et pourtant même cela n'arriver pas à rentre le sourire sur le visage de ma mère. Il m'étais arriver de pleuré, mais pour cela j'attendais le soir, je ne voulais pas rendre ma mère encore plus triste. Pendant les vacance d'été où je retourner voir mon père, il travailler et que les match de Quidditch promis ce fessais rare. Un jour pour ce faire pardonner il m'emmena à la piscine, je lui avais dit dans une lettre que j'avais appris à nager, pourquoi ce mensonge, je ne m'en souvient plus. Il me regarder avec un sourire et attendais que je saute avec les autres enfants et que je lui montre comme je nager bien. Je sauta, j'étais sous l'eau, j'avais conscience que j'étais entrain de couler mais j'avais trop honte pour remonter voir mon père et lui dire que je ne savais pas nager. Puis je perdit connaissance. Depuis j'ai développer comme une phobie de l'eau, des piscine. De tout ce qui contient de l'eau en profondeur, certain on le vertige, moi j'ai peur de l'eau. Puis les années passèrent, je grandit, mon corps changea, mon esprit aussi. Je reçut ma lettre pour Poudlard à l'année de mes douze ans. Ma mère était fière que j'entre dans cette école, elle si investie et ce servie de son argent pour m'acheter toute mes affaires pour la rentrée des classe. Je me souviens la première fois que j'étais aller sur le chemin de travers, vivant avec des parents sorcier je connaissais déjà par cœur le monde la magie et rien ne m'étais vraiment inconnue, cette rue avais un certain charme et était chaleureuse, mais rien a voir avec toute les boutiques de sorcellerie où mon père m'avais emmener à New York.

J'y trouva cependant une baguette qui me choisi, mesurent vingt-sept centimètre, entièrement faite de bois de chêne et contenant un cœur de licorne dedans. Puis ma mère voulu m'acheter un hiboux. En entrant dans la boutiques je découvrit tout pleins d'animaux, tous plus étrange les un que les autres et pourtant mon choix ce porta non pas sur un hiboux mais sur un chaton noir, enfermer seul dans une cage. Étrangement je m'était comparer à lui, la cage c'était ma nouvelle vie à Londres, la solitude c'était le malheur de ma mère depuis que mon père n'étais plus la, et son regard jaune était tellement intense que je ne pu m'empêcher de supplier ma mère pour quelle me l'achète, ce quelle fit. Après cela il y eu la rentrée des classes, le poudlard expresse, le choipeaux, ma maison, mes nouvelles rencontres, mes nouveaux professeurs, ma nouvelle vie. Je me fit encore une fois de nouveaux amis, mais aussi des ennemis, je découvrit les cours version sorcier, j'apprenais à utiliser ma baguette, mes pouvoir, en fait je voyer Poudlard comme un havre de paix. Pendant mes premières années à Poudlard je ne fit pas tellement remarquer, il m'arrivais de suivre les autres à faire toute sorte de bêtises mais rarement je me fit prendre, cela arriva quelques fois tout de même. Je rentré chez moi au Vacance de Noël pour voir ma mère puis je retourner à Poudlard et je passer une partie de mes était à New York avec mon père. En fait je vivais dans une sorte de train-train quotidiens. Et puis un été tout changea, ce fut l'étais de mes quatorze ans. Je découvrit le plaisir de regarder les filles, j'avais envie de me distinguer des autres, d'être ce que je pouvais être depuis toujours, différents. A ma rentrée à Poudlard je ne fut pas le seul à avoir changer et ma quatrième année ce passa différemment, j'avais envie de me faire remarquer, de montré de temps à autre que j'étais fort, je provoquer les gens, juste pas envie de me montrer en fait cela me plaisais beaucoup. Mon cercle d'amis évolua et celui d'ennemis aussi. Un jour un de mes amis m'entraîna dans un des jardin de poudlard et nous montra ce qu'il caché si précieusement dans sa chambre depuis la rentrée. La cigarette été bien entendu interdit dans le règlement de l'école, mais à cette âge, on ce sentais rebelle à vouloir enfreindre le règlement et c'est comme ça que commença mon addiction, par un simple défit d'ado. Croyez moi Docteur, je me sentais fier. Et puis quand viens l'été de mes quinze ans je découvrit les joie de la rébellion, de faire le mur, de sortir après minuit, de boire de l'alcool. Et puis un jour on me proposa quelques chose de différent, aller savoir pouvoir j'y suis aller tête baisser sans me pauser la moindre question. Mais c'était bien, c'était drôle, je me sentais bien, calme, heureux. J'en repris, encore et encore, fumer des pétard n'avais rien de méchant, après tout, tout le monde le fessais. Cette été là je me suis même fais tatouer, une rose derrière mon épaule droite. Car la rose me rappel à chaque fois ce souvenir de cette hivert à New York, du bonheur que mes parents éprouver encore, de l'amour qui étais encore présent et de mon premier jour en t'en que réelle sorcier.

Et puis ma dernière année à Poudlard ce passa bizarrement, je sorti avec une fille, puis avec une autres, je tomba réellement amoureux d'une mais m'est inaccessible, j'ai arrêter de fumer du cannabis à la rentrée, mais le manques ce fit sentir et plusieurs fois j'eus du mal à me dire que si j'en avais les choses serais plus simple, alors que c'est faux, bien sur Docteur ? Bien sur que tout cela n'est que dans la tête ? Et puis après, c'est simple je suis arrivé ici. Je crois que c'est quand j'ai sauter dans le lac que j'ai compris que plus rien n'aller dans ma tête Docteur. Je sais pas, j'eus comme une pulsion et j'ai sauter dans le lac noir. Un élève m'as vue et a prévenue les professeur et on est venu me chercher. On m'as parler de suicide, mais est ce que j'en avais vraiment eu envie ? En fait je ne sais pas trop ce qui c'est passer, comme si j'en avais eu marre de me pauser autant de question sans réponse, de ne pas savoir si je suis heureux ou non, alors j'ai sauter. Mais vous savez quoi Docteur, je crois avoir trouver la vrais réponse à votre question. Oui je crois que je vais bien maintenant, depuis quelques secondes, depuis que je viens de faire un point sur ma vie. Je ne suis qu'un adolescent en pleins dans la rébellion, j'ai chercher différente issus d'avoir des réponses à mes questions, la drogue, la suicide, même si je ne le considère pas comme. Oui je vais bien, je ne suis pas différent, je suis normal, je change c'est tout. Merci Docteur ! »